(...) Alors que les bâtiments des années 20 seront prochainement réhabilités, elle leur consacre une toile, pour garder une trace de leur beauté, de leur simplicité. ”Si dans les années 90, il s’agissait d’une cité sensible, il y règne aujourd’hui une atmosphère paisible. J’y passe souvent, j’aime aller marcher au jardin Pierre Seghers”, poursuit-elle. Sur sa toile, la cité est représentée de façon esthétique, “avec bienveillance”, mais non sans clins d’œil évoquant sa dangerosité passée : un hélico, une passe de drogue, un pitbull (...)
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